Les premiers journaux étaient vendus par correspondance, ou grâce à des crieurs de journaux qui attiraient le chaland en dévoilant une partie des nouvelles du jour, à charge pour le curieux d’acheter le périodique pour découvrir l’ensemble des informations.
Au milieu du XIXème siècle, des marchands de journaux se sont installés directement sur le trottoir, et se sont abrités des intempéries dans des kiosques, petits abris garnis d’étagères, d’où ils peuvent présenter leurs marchandises au passant : un nouveau mot est apparu pour les désigner : kiosquier.